Pierre Le Vigan : Éparpillé façon puzzle
Poussées à l’extrême, certaines choses changent de nature. C’est ainsi que le libéralisme, qui se voulait doctrine de défense des droits individuels, a généré le capitalisme de prédation, de connivence, et le totalitarisme du contrôle social total.
Poussées à l’extrême, certaines choses changent de nature. C’est ainsi que le libéralisme, qui se voulait doctrine de défense des droits individuels, a généré le capitalisme de prédation, de connivence, et le totalitarisme du contrôle social total. Les prétextes ? Covid, climat, guerre d’Ukraine… Au lieu d’être soumis au politique, l’économique a pris le pouvoir avec le libéralisme poussé dans sa logique. Pierre Le Vigan explique que, de la société concassée, il ne reste plus qu’un individualisme laissant l’homme seul face à la toute puissance d’une mégamachine mêlant Etat et ploutocratie. Le pouvoir de l’économie est devenu le pouvoir d’une oligarchie mondialiste hostile à la pérennité des peuples comme expression de la diversité culturelle du monde. Mais les peuples n’ont pas dit leur dernier mot ! A PROPOS DE L’AUTEUR Né en 1956, l’auteur collabore depuis quelque 40 ans à des revues d’idées. Urbaniste, il a travaillé dans le logement social. Il est aussi diplômé en histoire et philosophie. Il a publié une quinzaine de livres dont Le malaise est dans l’homme, Le front du cachalot (Carnets), Ecrire contre la modernité, Inventaire de la modernité, Métamorphoses de la ville (éditions La barque d’or), Face à l’addiction (La barque d’or), Le Grand Empêchement. Comment le libéralisme entrave les peuples (Perspectives Libres éditions).