Marc-Gabriel Draghi : Grand Reset en marche ! 2020 : An 1 du nouvel ordre mondial
En habile observateur, Marc Gabriel Draghi, dans une minutieuse prospection chronologique de l'année 2020, revient sur les dessous de cette dictature sanitaire annoncée et son caractère disproportionné édicté par les gouvernements, suppôts du capitalisme financier transnational, qui visent principalement à paupériser, par la dette, des populations déjà exsangues et saignées à blanc depuis longtemps, tout en les privant de leurs dernières libertés.
A force de s'acharner sur les lanceurs d'alerte, les journalistes des rares médias indépendants et les penseurs libres, les anti-complotistes de tout ã) bord - très nombreux au temps du coronavirus - ont réussi à faire imposer C le confinement à plus du tiers de l'humanité ! En censeurs scélérats, ces chantres de la pensée unique mondialiste cautionnent tout et n'importe quoi pourvu que le projet du Grand Reset, si cher à leurs maîtres de l'hyperclasse, se mette en place, de gré ou de force.
En habile observateur, Marc Gabriel Draghi, dans une minutieuse prospection chronologique de l'année 2020, revient sur les dessous de cette dictature sanitaire annoncée et son caractère disproportionné édicté par les gouvernements, suppôts du capitalisme financier transnational, qui visent principalement à paupériser, par la dette, des populations déjà exsangues et saignées à blanc depuis longtemps, tout en les privant de leurs dernières libertés.
Au fil des événements décortiqués et analysés, mois par mois, par l'auteur, le lecteur s'apercevra que l'omnipotence de BlackRock, l'escroquerie QAnon ou encore le lancement des monnaies numériques des banques centrales (CBDC), sans oublier le "quoi qu'il en coûte" de Macron et le retour aux affaires de l'eurolâtre Mario Draghi, révèlent un seul et H unique objectif : asseoir le Nouvel ordre mondial !
Désormais, les peuples n'ont que le choix de se lever contre les diktats du monde en voie de réinitialisation forcenée ou d'accepter de périr, par la peur, la division et la domestication, dans un système de totalitarisme digital à la devanture verte...